
H
j'ai la cervelle qui se crash
et le corps qui se relâche
de noirs idées je remâche
de la vie je me détache
si de la foule je me cache
ce n'est pas que je suis lâche
mais je hais toutes tache
qui souris sous leurs moustache
il faut bien que tu le sache
c'est pour ça que je m'arrache
en fumant un joint de hasch
m'injectant un super flash
ne dis pas que je rabache
car moi alors je me fâche
il la, tes dents tu recrache
après t'être pris un bon smatch
dans ma tête il y a eu un clash
j'ai perdu toute mes attache
je me prends pour un apache
c'est du peyotl que je mâche
bien meilleur que les pistaches
si t'en veux faut payer cash
au dealer de st eustache
sinon tu auras macache
H y sois t'il

Je laisse
Je laisse mes rêves m'abandonner
sur le papier blanc déchirer
que l'on essayais de recoller
avant de tout laisser brûler
Je laisse vieillir mes souvenirs
dans les boites a bijoux user
que l'on n'arrive pas a recoller
que l'on fini par oublier
Je laisse de mes yeux s'échapper
les larmes des blessure passé
les marques des nuit passer a prier
et les cris de haine qu'on m'a voler
Je laisse les coups frapper ma peau
les erreurs noircir mon passé
les blessures détruire mon enfance
et les cicatrices mutile ma peau
je laisse le diable voler mon âme
je laisse a dieu le droit de me punir
je laisse au hommes le droit de se moquer
et au ange le droit de me laissez
mais jamais je ne laisserais
quelqu'un mutilé mon coeur
piétiner mes sentiments
comme certains piétine les mégot usage
je ne suis pas a vendre
je vous offre ma vie
je vous offre ma mort
mais je préserve mon c,,ur
mes sentiments sont ma vie
je vous laisse tout le reste
mais ma liberté d'aimer
reste mienne pour toujours

je rêve du ciel de mon Archange
Je lève les yeux au ciel, pour chercher ta main dans les nuages,
Elle se présente à moi pour me soutenir dans ce dur virage,
Car même si je faits comme si tout étais vraiment facile,
J'ai besoin de toi, pour soutenir mon être qui est trop fragile.
Je regarde en arrière un instant, je repense à ce jour fantastique,
Où tu m'as complètement envoûté avec ton charme angélique,
J'ai dans mes pensés un délicat rêve de pouvoir entrer dans ta vie,
Qui me laisse rêveur et qui me permet de franchir mes interdits.
Tu es sources de tout mon amour, fruit de suaves désirs,
Tu faits naître en moi passion, qui le soir me fait frémir,
Mais je doits encore franchir de difficiles murs pour avancé,
Avec tout mon amour je trouve cette force pour continuer.
Je vais changer de vie, de lieux, d'habitude mais pas de c,,ur,
Car je te l'ai donné pour apporter dans ta vie de la douceur...

L'amour c'est...
L'amour est un merveilleux présent, qui fait rêver d'un bel avenir,
Il est le don de s'offrir entièrement, malgré un passé qui fait souffrir,
Il est le désir d'être avec un c,,ur, faisant vibrer d'une douce mélodie,
Notre âme sur l'océan du bonheur, en donnant à notre vie des envies.
Cet amour est d'accepté autrui, pour ce qu'il est et son vécu d'avant,
Il est comme un délicieux fruit, avec un goût sucré, mais surprenant,
Entrainant désir et suave passion, même s'il est le doux fruit interdit,
Il procure de délicates sensations, en donnant à notre vie des envies.
Cet amour nous fait avancer, donnant un but, d'étonnants objectifs,
Nous désirons en elle briller, nous voulons entrer en son c,,ur à vif,
Être un doux prince charmant, détruisant ses vils dragons de la nuit,
Il nous permet d'être séduisant, en donnant à notre vie des envies.
Cet amour est pareil au cristal, éclatant sous une lueur scintillante,
Rayant mon doux c,,ur glacial, avec une simplicité déconcertante,
Il donne beaucoup de courage, et même s'il entraîne la jalousie,
Il franchit les murs avec rage, en donnant à notre vie des envies.
Cet amour est un émoi unique, qui fait faire des choses étranges,
Rendant une femme angélique, en la faisant nommer archange,
Nous faisant rêver ainsi de ciel, avec de suaves et brûlantes nuits,
Il est un monde de merveilles, en donnant à notre vie des envies.

Lettre d'adieu
Adieu à vous qui peut être m'aviez aimés, adieu à ceux qui ont du me supporter. J'avais tant de choses à dire, j'aurais voulu m'exprimer, mais je ne peux que partir car personne ne m'a écouté. Mélancolie exacerbée ou fin d'une vie abandonnée ? Acceptation de la fatalité ou refus de la vérité ? Encore ces questions, elles ont décidé de me conduire dans l'abîme. Mais la solution, brève et définitive sera mon acte ultime. Quand un ange ou un démon m'aura emporté, vous n'allez pas me regretter. Peut être aurais-je la chance, dans une autre vie, de braver la déchéance, celle qui m'a détruit. Mais aujourd'hui je rêve d'une autre terre, car ce pays où mon âme s'enterre, me fait perdre la raison, efface tous mes horizons. Je rêve d'une contrée inconnue où je ne serais plus déçu, d'un peuple accueillant qui comblerait le néant. Je suis asphyxié, je dois m'échapper. Qui que tu sois être divin, montre moi le chemin de ce lieu magique, avant l'heure fatidique ; car je ne veux pas m'éteindre et tout effacer, mais je ne peux me restreindre à rester blessé. Demain je ne serais plus, on en parlera dans la rue ; mais on oubliera bien vite, cette lettre que j'ai écrite. Ceci n'est pas mon testament car je n'ai rien à donner, ne le lisez pas à mon enterrement car il ne faut pas pleurer. Mon tourment est ravivé, mon âme s'est emballée et dans cette décision brutale, chacun de mes actes me sera fatal. Alors acceptez mon départ, ne restez pas dans le noir, utilisez mon désespoir pour oublier mon histoire. J'aurais voulu vous voir une dernière fois, avant de rejoindre l'au-delà, mais à présent il est trop tard, tout rendez-vous serait dérisoire. Je veux simplement qu'on me comprenne, qu'on ne ressente pas de haine, qu'on pense un peu à moi, même si je ne revenais pas. Maintenant la mort, s'empare de mon corps, il est bientôt l'heure, d'épurer le malheur. Bien que cette nuit soit éternelle, je vous promets de rester fidèle car vous êtes tout ce qui a compté dans ma vie, vous avez été mes amis. Je vous dis adieu, soyez-en heureux.

Passion d'écrire...
Il y a ces choses que l'on ne peut admettre sans ensuite se compromettre, il y a ces causes que l'on ne peut soutenir sans pour autant en souffrir. Il y a mille destins pour les enfants sans chagrin, mais un seul amour, celui qui durera toujours. Il faut croire en la chance, le bonheur et l'espérance et penser à ceux, qui si jeunes, sont déjà trop vieux.
Mais que faut il faire, pour avancer sur cette Terre ? Contempler derrière soit les chemins arides ou regarder en avant l'avenir comme un vide ? Que cherches tu, toi qui me lis ? Pourquoi veux tu, connaître ma vie ? Est-ce une tare de pleurer seul le soir ? Suis je handicapé, des larmes qui ont trop coulées ? Pourquoi dites vous que j'écris bien ? Connaissez vous mon chemin ? Non, je n'ai rien à prouver, ni vraiment à déclarer. Je veux juste écrire, écrire et puis mourir... Quand je n'écrirais plus, je ne vivrais plus.
Je veux simplement immortaliser les passions, les pensées et les communions. Et puisque dans sa bonté infinie le plus grand des décideurs, m'a donné une touche de génie pour purger mon malheur, quel mal à en profiter, à se dévoiler et tout partager ?
Certains ne me comprennent pas, ne voient que le mal en moi, ou l'extrême impudisme de la frustration à son paroxysme. Mais laissez moi rêver, aimer, châtier et tout partager. Laissez moi mon unique chance, celle basée sur mon inconscience, laissez moi croire une fois seulement qu'il y a une vie au firmament. Je ne veux pas choquer, encore moins faire pleurer, je ne souhaite pas vous voir triste, juste vous dire que moi j'existe.
Certains me trouvent étrange, d'autres me voient comme un ange, je suis simplement humain, passionnée par mon destin, un peu folle parfois, mais réaliste et ça se voit. Que signifie cet écrit, il ne parle plus de ma vie, n'analyse aucune passion, est écrit en toute raison. Il ne s'agit que d'une pause, une remise en cause, un sens que je veux donner, à tous ces textes que j'ai créés...

Toi
te voir de loin,
plus ou moins,
s'être croisé ,
et après...
penser a toi,
pourquoi pas,
peut-être un jour,
même pour toujours.
Te voir de prés,
pour après,
te regarder ,
même t'observer,
puis a jamais t'oublier.